Chambre 327

Chambre 327... Yuffie y était allongé, sur le lit, toute habillée. Dans cet établissement reposait un calme assez important, agréable, dû au luxe du bâtiment. Elle était dans un hôtel construit par un collecteur d'âmes, celui qui les avait réunis ici parce qu'il y avait remarqué une présence importante d'énergie. C'était attirant... mais peut-être aussi effrayant. Peut-être qu'il y avait de nombreux Eskahs, ici.

* Je m'en fous des Eskahs, ce sont des imbéciles, ils ne me font pas peur ! * pensa t-elle, férocement .
* Comme si des imbéciles qui ne maîtrisent que la discipline ont la moindre chance, contre nous, puissants collecteurs. *

En fait, elle n'en savait rien. Elle venait juste d'arriver dans ce village. Sa valise à moitié ouverte, les vêtements qui jonchaient le sol et le placard à moitié rempli en étaient les témoins. Pourtant, elle pressentait déjà quelque chose. Ils allaient se passer des événements très importants ici, qu'ils soient bien ou mal. Mais elle leur ferait face. Elle regarda un dernier instant le papier que lui avait donné celui qui lui avait tous appris avant de disparaître , émouvant souvenir, puis plongea profondement dans les bras de Morphée.

N'ayant vu personne a la récéption il était monter et avait parcouru tous les étages en quète d'une personne a qui parler. Sa faisais longtemps qu'il n'avait pas eut de conversation avec des gens normaux.
Il S'était donc arété devant cette chambre ou la porte était entre-ouverte.
Il réfléchi sur le pour et le contre d'une eventuelle entré environ un milième de seconde et entra donc le plus naturellement du monde.
La, il aperçut cette demoiselle alongée sur son lit il la cru morte et vins la tapoter. Elle se leva il fit donc un bond en arrière et resta acroché au lempadair étant devant l'entré. Il se détacha et fit un petit signe de la main a cette étrange jeune fille.

-Bonjour ^^

Elle était endormie, quand quelqu'un était venue la reveiller. Elle s'était relevée brusquement, effrayant alors cette personne . Elle examina vaguement la personne en face d'elle, les yeux encore tout engourdis de sommeil. Elle sut facilement ce qu'était la personne en face d'elle, à la vue de l'aura fantomatique qui l'entourait :

* Une âme ? Qu'est-ce qu'une âme fait ici ? *

Alors, d'un ton plein de méfiance et d'alerte elle demanda :
" Que fais-tu là ? Si tu es venu pour me tuer, ce n'est pas la peine, malgrès mon apparence, je sais me défendre. Et je ne suis pas une tendre, je ne suis pas une Eskah, je te tuerai sans le moindre regrets ! "

Cherchant à semer le trouble dans l'esprit de l'âme, elle ajouta avec un rictus qui se voulait malfaisant :
" Oui, tu as compris, je suis une collectrice d'âmes. J'ai tué des centaines d'humains, si tu crois qu'une simple âme me fait peur ! "

Il fut surpris par la réponce de cette demoiselle mais il esquissa un sourir.

-Ravi de voir que vous allez bien. Je me présente : Spyke.

Il continuais a sourir comme si il était content d'enfin pouvoir parler a quelqu'un.

-En effet vous avez raison sur un point, Je suis une âme. De la a dire que je viens vous tuer ...

Il eut un petit rire.

Je ne pense pas que j'ai envi de vous tuer voyons. Soyons coérents svp.
Si je voulais vous tuer je l'aurais fait alors que vous dormiez.

Mais au juste ... Que faisiez vous seule dans un hotel comme celui-ci ?

Après qu'il eut parlé , elle le regarda, intriguée. Puis elle répliqua d'un ton rapide :
"C'est étrange ce que vous dites, normalement, il y a beaucoup de personnes. Surtout à cette heure-ci. Peut-être qu'ils ont un rendez-vous important et qu'ils ne m'ont pas accepté. C'est deguelasse ! Juste parce que je suis une des plus jeunes de la profession... Je suis sur que je bats pas mal de ces vieux croulants ! Sauf le plus vieux de notre profession. Il a plus de mille ans. Ses pouvoirs sont terrifiants et sa puissance est... colossale. J'aimerais le tuer un jour, ou tuer quelqu'un de sa trempe , pour montrer que je ne suis pas une débutant dans le métier. Si j'arrive à lui faire accepter de me donner son âme ça serait parfait. MAis cette idée semble utopique. Il est trop fort pour moi. Je vais devoir m'entraîner fortement pour arriver à son niveau. Bah , c'est pas la motivation qui me manque, loin de là. Mais le fait que tout le monde doivent se méfier de tout le monde, dans cette profession m'effraie. Ils sont tous choqués que j'ose laisser ma porte ouverte. Je leur réponds que si un Eskah passe, il ne pensera pas qu'un collecteur, paranos comme ils sont d'habitudes, oserait ouvrir sa porte. Et j'ajoute que si quelqu'un me tue dans mon sommeil, je m'en moque, cela voudrait dire que ce n'est qu'un lâche."

Elle reprit son souffle puis reprit, d'une voix plus calme, plus posée:

" Excuse-moi, il m'arrive souvent de m'emporter et de raconter toutes mes pensées ... Désolée. A toi de parler, que viens tu faire dans ce village ?

Il ignoras tout d'abbord la question

-Cela fait du bien de parler a des gens... je ne vous en veux pas d'avoir débalez vos pensées avoir un but dans la vie est crutial.

Puis il réfléchit un peu et repris.

-Je suis ici pour ...

Il hésita.

- ... Des affaires disons. En fait je ne sais pas très bien pourquoi je suis la .... ni mème par quels moyens j'y suis arrivé mais je suis la et c'est le principal non ?

Il lui souriat.

-Vous m'avez l'air bien remontez Mlle la chasseuse d'âmes
Aussi, il faut obéire a nos ailleux et a nos maîtres, nous n'y pouvons rien

Reïhar marchait dans les couloirs un plateau à la main. Vraiment fournir cette facade se révélait fastidieux. Aujourd'hui comme par hasard, c'était le jour de congé du personnel ce qui faisait qu'il était obligé de transporter les plateaux de petit déjeuner auprès de ses "clients". Il chantonnait une vieille chanson que chantaient jadis les collecteurs d'âmes. Il soupira, cette chanson traditionnelle s'était presque perdue désormais. Malheureusement....

<<
petite âme...
Tremble, tremble tremble,
du fait de me voir...
Tremble, tremble, tremble>>

Il s'interrompit quand il arriva devant la porte de Yuffie Kisaragi, une jeune collectrice d'âme assez prometrice. Apparemment il y avait quelqu'un d'autre à l'intérieur de la pièce, une âme. Que faire? Il décida de jouer une comédie et de tenter de lui faire croire qu'il ne la voyait pas. Il avait entendue outrageusement Yuffie parler de lui comme d'un vieillard. Il frappa à la porte et ouvrit.

<<Bonjour Madame Kirasagi, votre petit déjuener est servi!>>

Il s'avança et posa le plateau sur la table de chevet tout en regardant Yuffie et jetant un regard vague et assez rapide à l'âme...

Elle sursauta faiblement , déconcerté par cette arrivée imprévue. Elle se rassura en voyant que cette homme ne voyait pas l'âme. Il portait plusieurs bols. Du personnel de service, donc. Mais, bizarrement, elle ne l'avait jamais vu. Bah, ils avaient employés quelqu'un d'autres. Pourtant, quelque chose dans son visage ou dans son sourire qui semblait faux la déconcertait - non, l'éffrayait- au point que, sans se contrôler, elle recula de plusieurs pas nerveusement. Elle observa l'âme, puis bizarrement, repris un peu de courage. Elle le remercia avec toute la chaleur qu'elle était capable de donner à ce personnage mystique:

" Merci, monsieur, vous êtes bien aimable. " Elle souligna ses mots d'un pâle sourire. Puis d'un ton indifferent, et d'une malpolitesse légendaire, mais qui lui semblait de rigueur face à un tel homme, sans doute pour essayer de montrer qu'elle n'avait pas peur, que son manège ne marchait pas sur elle, elle déclara :

" C'est bon, vous pouvez disposer ."

Elle regretta quand même ces paroles juste après les avoir prononcer, cette homme était juste venu lui servir son petit dejeuner, il était effrayant en sa façon d'être mais ce n'étais sans doute pas sa faute . Alors elle murmura un vague " désolée " pour se faire pardonner.

Il fut surpris que cet homme ne le vit pas.
Il sentait une aura émaner autour de son corp ...
Il tenta vainement de lui parler :

-euh monsieur ... Je voudrais un café ...?

Il vit que l'homme l'ignorait totalement. Il fut un peu déçut, mas il finit par ce dire que peut ètre son imagination lui avait joué des tour et que cet homme était réèlement un homme ...
Il ne l'avait pas vu tout a l'heur a la récéption, il aurais bien aimer lui demander ou il était mais il ne pouvait pas.
Il se raprocha donc de yufi et lui demanda de fair l'intermédiair entrre l'employé et lui :
-Dites Mlle vous voudriez pas demander a cet homme ou il était tout a l'heur parceque je l'ai pas vu ... Et dites lui que je veux un café aussi svp

Il esquissa un sourire

Il venait de déposer le plateau quand Yuffie lâcha:

<<C'est bon, vous pouvez disposer .>>

Il lui jeta un regard noir avant de répondre.

<<Au fait je crois que nous n'avons pas été présentés. Je suis le propriétaire de cet hôtel. Reïhar Vislan à votre service!>>

Elle sembla se rendre compte de son erreur et s'excusa. L'âme, elle semblait assez agitée, le regarda et lui demanda un café. Exaspéré, Reïhar continua alors de l'ignorer comme il l'avait fait. Spyke murmura alors à l'oreille de Yuffie.

<<Dites Mlle vous voudriez pas demander a cet homme ou il était tout a l'heur parceque je l'ai pas vu ... Et dites lui que je veux un café aussi svp>>

Il s'arrêta juste devant la porte et se retourna avant de répondre.

<<J'étais tranquillement assis à mon bureau à gérer mes comptes et...
Je ne sers que les clients...!
Au revoir Mademoiselle Kisaragi!>>

Il eut un petit sourire envers ses interlocuteurs et ouvrit la porte toujours en les fixant, ses yeux se iris se rougissant légèrement tandis que son aura se fit plus pressante.

<<Melle Kisaragi, vous expliquerez à cet esprit errant pour quelles raisons il devrait éviter de m'énerver...>>

Avant que l'âme n'ait le temps de faire quoique ce soit, la jeune fille lui ordonna d'un ton calme :

" Ne fais rien ... "

Elle se tourna alors vers le visiteur :

" Monsieur, votre présence ici est malvenue. Vous êtes sans doute le plus fort d'entre nous, c'est vrai, mais vous savez que vous n'avez rien à gagner ici. Je n'accepterai jamais de vous donner mon âme. Même si vous me faites souffrir longtemps. Vous n'y verrez pas de la soumission, mais de la haine, une haine puissante. S'il vous plaît, Reïhar Vislan "

, elle fit une légère grimace de dédain et de mépris, accompagné d'un peuh pour énerver son interlocuteur. C'était risque mais ça en valait la peine .

" , sortez, je vous en prie, avant que je fasses une action qui me serait fortement regrettable. Je me moque de mourir. Mais je ne veux pas me faire asservir. Personne ne sera jamais mon maître "

cria t-elle finalement, mettant toute sa rage dans ces derniers mots.

Elle décida de s'assoir sur son lit pour tenter, vainement, de se calmer.
Et là, elle voyait la réalité, elle en avait trop dit, sa vie était en jeu, et elle ne s'en moquait pas tant.


( HRP : Hé, Spyke, tu vas arrêter de m'appeller yufi ou autre orthographe malfaisante ! T_T C'est Yuffie , si tu veux pas que je pètes les plombs !! :p )

" Monsieur, votre présence ici est malvenue. Vous êtes sans doute le plus fort d'entre nous, c'est vrai, mais vous savez que vous n'avez rien à gagner ici. Je n'accepterai jamais de vous donner mon âme. Même si vous me faites souffrir longtemps. Vous n'y verrez pas de la soumission, mais de la haine, une haine puissante. S'il vous plaît, Reïhar Vislan , sortez, je vous en prie, avant que je fasses une action qui me serait fortement regrettable. Je me moque de mourir. Mais je ne veux pas me faire asservir. Personne ne sera jamais mon maître "

Reïhar éclata de rire. Quelle réaction stupide. C'en était étonnant. Comment pouvait il penser une chose pareille.

<<Ah ah ah, asservir un collecteur d'âmes. Voyons! Nous ne sommes pas des humains. Si nous commençons à nous entre-tuer, où ira le monde. Et puis certes asservir l'âme d'un collecteur serait fort utile mais trois points peuvent éveiller votre attention.
Premièrement, si on tue un collecteur d'âmes de quelque façon que ce soit, les âmes asservies redeviendront libres. Et ces âmes ont été forcées de développer leur potentiel pour toujours fournir plus d'énergie. Animées par la vengeance elles pourraient être dangereuses en grand nombre...
Deuxièmement, si je devais tuer des collecteurs en douce, je ne les aurais pas tous convoqués mais attirés uns à uns dans des endroits reculés pour ne pas paraitre un traitres auprès de mes frères.
Troisièmement, je n'ai rien contre vous. Nous sommes supérieurs aux humains, nous ne devons pas douter de nous.
Et quand à toi petite âme, qui est tu?>>

Il le regarda bizarement.

-Euh je suis spyke !

Puis il sourit, comme il le faisait si souvent

-Aussi je ne suis pas une 'petite ame' comme vous avez l'air de le sugérré Mr.Vislan. Certe je suis mort mais je ne suis pas pour autant faible ...

Il dit ceci afin d'intimidé son adversair mais voyant que sa ne marchait pas il reprit.

-mais bon, comme je suis une ame vous n'auriez aucune raison de me tuer je ne suis donc pas en danger.
Mais en montant ici je n'ai aparçut personne vous pouriez donc restez avec nous pour déjeuné

Il souriat a nouveaux
En effet, il ne pouvais pas manger étant une ame, mais afin de fair comme tout le monde il prenais ses repas tout de mème .

[Sorry Yuffie ]

Bonsoir messieurs ... et mademoiselle ! Spicedizut venait de faire son entrée en scène bien que surprenante , il rentre dans la piece en passant par la fenetre qui se brise en myriades de morceaux de verre
Vous m'excuserez , c'est ma crise de somnambulie qui m'a amené ici , une vitre en pleine figure , ça reveille !
C'est sympa cette petite réception ! mais il n'y a que ça comme monde ??!! Pourquoi vous portez des armes ??? Ouhla !!!! *J'ai encore du me gourer moi , c'est bien ma veine de tomber dans des soirées SM a chaque fois , satanée somnambulie *
Sur ce je vous laisse messieurs et autres trucs ( s'adressant a la petite fille devant lui ) * bizarre celle-la ... * Mais si vous insistez je peux toujours faire celui qui fouaite , je manque pas de moyens en tout cas ( sort Mizumaru de son foureau ) Allez , ramenez vous !

Il fut surpris par la soudaine arrivé de cette étrange personne.
Il la regarda en penchant la tète sur la droite puis il se grata.
Il observa l'étrange employé mais il ne lui vit aucune arme, en réalité, seul Yuffie en portait une.

-Je pense que vous vous ètes gouré de place m'sieur mais si vous voulez vous battre je vous propose d'agréssé cette homme .

Il montra du doigt le patron de l'établissement.

-Il se fera un plaisir de vous tuer Mr. l'eska, c'est bien ça ?

Il s'aperçut alors qu'il n'aurait pas dut dire ça ...

-Enfin on ne se bat pas dans une chambre voyons ...
Je me présente, Spyke !
Je suis une ame, sa se voit non ?

Reïhar bougea ne bougea pas d'un pas quand une vitre éclata, percuté par un eskah aux cheveux blancs, portant un kimono et une épée à sa taille. Il prononça des paroles dénudées de sens et dégaina son katana.

<<Allez , ramenez vous !

-Quelle vulgarité...>>

Un instant Reïhar parut disparaitre de la vue de tous et réapparut dans le dos de Spicedizut, une main sur celle tenait son katana, l'autre tenant une dague, faite d'une éclatante lumière blanche, sous sa gorge.

<<Vous assez ranger cette épée et me payer des réparations pour cette vitre, compris?>>

Il le força à ranger son sabre et alla inspecter la fenêtre, seul les vitres étaient abimées. Le montant des réparations ne serait donc pas très élevé... Il fixait cet inconnu avec un regard méprisant et une once de colère. Comment osait il venir ici par ce moyen? Et surtout détail inquiétant, il s'agissait d'un eskah. Mais appartenait il a leur organisation? ça il l'ignorait... Quoi qu'il en soit, li paraissait assez jeune et ne semblait pas très puissant. Reïhar en déduit donc qu'il ne s'agissait pas d'une menace sérieuse...

[HRP: Désolé pour ce rp de piètre qualité...]

Plutot fort , se dit Spicedizut , sa rapidité est impressionante mais il n'y a pas vraiment de quoi s'inquieter . a voix haute Euh ... c'est a dire que je suis legerement fauché maintenant , j'te rembourserai ta vitre plus tard papy , et n'utilise plus cette dague tu risques de blesser quelqu'un !
Bon si vous voulez on se tappera dessus plus tard parce que moi je suis fatigué ! Allez salut les filles , amoins qu'il y en ait qui veulent me suivre ... QUI M'AIME ME SUIT !!!
Spicedizut resaute par la fenetre en cassant la vitre d'a coté ... *OUUPS !!!! *

Il le vit partir et posa sa main sur l'épaule de Mr.Vislan comme pour le stopé dans sa rage.

-Je pairais a sa place mais laisses le tranquil pour le moment.

Il mis son autre main dans sa poche et y chercha de l'argent. Il en sortit une petite liasse de billet.

-Je n'ai que sa pour le moment, Si il faut plus je pairais plus ne t'inquiète pas.
L'argent ne me sert à rien alors autant aider cet homme, je suis conscient qu'en tant qu'eska il est votre énemis a tous les deux. Aussi tuer ne sert a rien. J'espère que vous accèpterais cette proposition Mr.Vislan.

Il envela sa main de l'épaule du maitre des lieu et remit les deux mains dans ses poches.

[On te pardonne raiar ]

[HRP:Mais faites vos 10 lignes c'est pas compliqué.]

Reïhar vit l'âme poser sa main sur son épaule et lui donner de l'argent à la place de l'eskah fou.

<<Bon très bien, je ne lui réclamerais pas cet argent, cela suffira.>>

Reïhar se passa une main dans les cheveux en effet il avait été très froissé par les différentes remarques à son sujet. Il y eut une lumière aveuglante et tous les bouts de verre avaient disparut et une légère odeur de brulé avait emplit la salle. Il compta les billets.

<<Désolé pour le dérangement, Madame Kisaragi. Je ferais poser des fenêtres le plus tôt possible. En compensation, nous vous offrons un repas gratuit ce midi passez au restaurant...>>

Il réfléchit quelques instants en regardant Spyke...

<<Et quand à toi, Spyke, tu semble en manque d'argent surtout après m'avoir donné ça. Si tu es à la recherche d'un travail, tu peux travailler ici.>>

Reïhar se retourna, ouvrit la porte et s'arrêta juste avant de sortir.

<<Je vous ouvre la chambre 328 qui n'est pas occupée Mademoiselle Kisaragi?>>

" C'est d'accord ... "

Elle était troublé par tous les évenements qui s'étaient passé à la fois. D'abord reveillée par une âme, puis un collecteur d'âme qui arrive, déguisé en personne de service, et pour finir un eskah qui fait une entrée remarquable ( et remarquée ) . C'est quoi ce village de folie.

Elle s'approcha de sa valise, et , avec un manque de grâce inimaginable, elle ramassa quelques habits entassés sur le sol, et les rangea, ou les entassa, plutôt, dans son sac. Après une minute d'énervement sur sa valise, elle réussit à la fermer, elle ne ressemblait plus vraiment à une valise maintenant et montrait des signes flagrants d'obésité.

Alors elle se tourna vers le collecteur :
" C'est bon, ouvrez-la moi ... enfin, s'il vous plaît "

Puis elle ajouta, à l'intention de l'âme :

" Et maintenant, vous, que comptez-vous faire ? "

Il regarda yufie et lui murmura:

Je vérais ... j'ai quelques petites affaires a réglés et ensuite j'aviserais

Puis il aussat la voix en direction du patron.

A quoi bon travaillé alors que je suis une ame ?
Nul ne peut moi voir et l'argent m'est donc inutile

Il atendit un peu.Puis eut un legers sourir.

Puis, si j'ai bien compris, cette endroit ne devrai pas ètre fréquenté par d'autres personne que les colecteurs non ?
Enfin c'est ce que j'ai cru comprendre

Il lui fit un petit clint d'oeil et se retourna vers Yuffie.

Et bien je continurais bien cette conversation dans votre nouvelle chambre Mlle si cela ne vous gène pas

Il lui fit un sourir

<<A quoi bon travaillé alors que je suis une âme ?
Nul ne peut moi voir et l'argent m'est donc inutile.
Puis, si j'ai bien compris, cette endroit ne devrai pas ètre fréquenté par d'autres personne que les colecteurs non ?

-Et bien justement. Si il doit y avoir des collecteurs d'âmes ici, c'est justement ici que vous serez en sécurité, sous ma protection, à mon service... Par conséquent, j'attends une réponse dans les prochains jours. Ah et vos clefs, au revoir...

Il lança les clef à Yuffie, et hésita à lui dire de fermer la porte en partant avant de finalement le faire. Il marcha lentement en direction de la fenêtre et... sortit de la chambre... par la fenêtre... Après une réception au sol emplie de grâce et de volupté, il se passa une main dans les cheveux...

*Bon où est ce petit eskah... Il m'a bien énervé tout à l'heure... Et puis il y a le problème de la discrétion, je ne peux pas laisser rendre mon identité publique... ça va être délicat à gérer.Deux possibilités le meurtre ou l'intimidation encore que trouver un accord doit être possible...*

Il marcha à la recherche de son aura...

*A nous deux petit Eskah...*

Il le regarda partir et lança une dernière phrase en criant a moitier

-Laissez le !
J'accèpte de travaillé ici mais je souhaite rester impartiale et ne pas devenir uniquement votre 'informateur', je protègerais cet eskha si vous veniez a l'agrésser...
Que les choses soient clair au moins.

Il souriat a nouveau.
Puis il se retourna vers Yuffie
L'air me conviandrais mieu pour la suite de notre conversation si cela ne vous gènes pas.
Il sauta par la fenètre déja cassé.

* Pff ! C'est quoi ces tarés ? Bon , je vais faire comme les autres, je paraîtrais bizarre sinon. C'est pas moi qui saute par les fenêtres, pourtant. Enfin bon *

Elle s'avança lentement vers la fenêtre. Elle se pencha et regarda. Le sol était bas. Elle n'avait pas envie de finir écrasée contre le bitume. Puis elle le regardait, moins elle avait envie d'y aller, mais pourtant, elle finit par sortir deux dagues qu'elle rangeait habituellement sur sa ceinture. Puis, elle escalada delicatement le rebord avec beaucoup moins de classe que les precedents, se laissa tomber quelques mètres, puis planta profondement ses dagues dans le mur en béton, pour ne pas faire une trop grande chute. Elle refit cette opération plusieurs fois, en s'éfforçant de ne pas regarder ce qu'il y avait en dessous d'elle, cela l'aurait totalement destabilisé, elle n'aurait sans doute pas pu continuer. Et au bout d'un moment

* enfin !! *

elle arriva sur la terre ferme. Elle regarda le mur, en arrivant à peine à croire qu'elle venait de descendre une telle distance !

Elle vit l'âme qui était à quelques centaines de mètres de lui, elle cria dans le but d'attirer son attention. Il n'entendit pas, elle décida de le poursuivre, puisqu'elle se débrouillait bien mieux en course à pied qu'en escalade.

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